Méthode
Mon aide, ma détection :
Mon action, dans l’ordre, commencera par la détection d’eau sur votre terrain. Déterminer sa nature, faire une estimation du débit horaire, trouver la profondeur où il faudra la capter, trouver l’amont et l’aval du fluide et déterminer l’emplacement idéal pour un forage optimal. Nous verrons ensemble l’installation qu’il faudra privilégier (puits classique busé, artésien, irrigation agricole…). J’utilise les outils traditionnels, baguettes, pendules, cadrans de comptage pour la profondeur et le débit.
Forage et création du puits :
Pour un puit il sera de bon conseil de faire appel à des professionnels du secteur et de faire creuser plus bas que la source qu’on aura détecté. Si vous le souhaitez, je vous conseillerai sur des entreprises à contacter (sur la région) pour étudier la faisabilité et le chiffrage avec eux. Lors de cette étude nous vous recommanderons de procéder à la création d’un forage entre 3 à 5 mètres de profondeur supplémentaire, le but étant de créer une réserve.
La géothermie, se chauffer avec l’eau :
Pour l’installation d’une pompe à chaleur « eau / eau », nous rechercherons ensemble sur votre terrain un débit suffisant afin que votre projet soit viable. C’est un procédé très écologique et plutôt économique ! Il faudra compter en moyenne entre 3 à 6 m3/heure pour rendre votre installation réalisable. Nous pourrons vous conseiller sur le choix d’un professionnel du secteur afin qu’il vous aide à tracer sur papier votre future installation Géothermique.
Une méthode ancestrale :
La méthode utilisée repose sur la sensibilité de « Biomagnétisme » du corps humain (l’art traditionnel des sourciers), c’est un don qu’il faut travailler, affiner et contrôler… Cette méthode, très ancienne, apporte une fiabilité de détection de plus de 90%. Dans les autres cas, et c’est normal même si cela reste rare, un échec est possible. La recherche peut être perturbée par un champ magnétique (éolienne, ligne à haute tension, câble électrique et réseau souterrain de voirie…) Il faut rappeler que l’art de la Sourcellerie, n’est pas une science exacte et que le sourcier aiguille, ressent et interprète les sous-sols et ne peut-être tenu à la garantie d’un résultat sur la présence d’eau, de profondeur et de débit.
